DIM 1er sept : Le pic vert – « Gogos » (rilles) dans la brume

A l’heure dite, tout le monde (ou presque, merci JP) était au lieu de rendez-vous. Co-voiturage efficace et nous voilà au réservoir du sommet des Mamaia, lieu de départ de la randonnée du jour. Le temps n’est pas réellement clément, nous sommes au cœur des nuages, avec peu de chance que cela se dégage d’ici notre arrivée sur la crête, prévue vers 11h30.

Parmi les nouveaux adeptes, Christine, Aline, Marie-Laure, sans oublier Sam et ses enfants, Josué et Leïla, qui vont parfaitement illustrer le vieil adage, «la valeur n’attend point le nombre des années». Respectueux des consignes et disciplinés, nos deux ados de 10 et 12 ans vont ensoleiller la sortie du jour par leur enthousiasme et leur gouaille communicative, supplantant admirablement la défection de l’astre de jour tout au long de la grimpette.

45 mn jusqu’au fa’a’apu et sa cabane, une petite heure supplémentaire, et nous voilà au pied du sublime raidillon (sous le tonneau) qu’Evelyne saura négocier en un tour de main, malgré son appréhension. A l’intérieur du gros cumulonimbus qui encadre tout le massif du Pic Vert, nous profitons de l’effet «brumisateur permanent» qui nous accompagnera tout au long de la journée. Autant dire qu’on est à peine trempés, pour visiblement le plus grand bonheur de tous…

Arrivés au lieu dit de «la bâche des chasseurs», qui a disparu il y a quelques mois déjà, nous prenons dans la bonne humeur le temps de déjeuner avant d’attaquer à l’unanimité des voix la dernière montée jusqu’à la crête supérieure, face au Diadème et au mont Marau… que nous ne verrons pas, une fois encore, n’est-ce-pas Floriane ? Qu’à cela ne tienne, on y était et on a pu imaginer, les yeux fermés, dans la moiteur envahissante, ce que nous aurait réservé un soleil de plomb. Belles perspectives visuelles évidemment, mais aussi chaleur excessive et transpiration omniprésente… A choisir… Bref, on reviendra !

Descente sans problème malgré les nombreuses glissades plus ou moins contrôlées, et cerise sur le gâteau, un final en boucle puisque nous empruntons la piste de «downhill» qui nous emmène sur l’étonnante crête externe du Pic vert. Les points de vue sur la Mission, le Belvédère et toute la côte est, mais aussi les innombrables gammes de vert et de bleu, malgré le temps gris, nous redonnent un supplément d’énergie pour finir en beauté peu avant 15h…
A bientôt,

JP – Photos : Christine et Alain

2 réponses sur “DIM 1er sept : Le pic vert – « Gogos » (rilles) dans la brume”

  1. Hahaha. Le Pic-vert, une grande histoire d’amour.
    Amitiés à tous. Des biz de Bretagne !
    Floriane.

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