Au départ de la piste, face à l’entrée du Musée Gauguin,nous reprenons nos repères. Avec l’assentiment d’un riverain amusé, nous entamons la grimpette vers les hauteurs. Au bout d’une petite heure, nous arrivons au carrefour de plusieurs sentiers et nous avons un peu de mal à retrouver notre itinéraire. Qu’à cela ne tienne, nous voilà partis plus haut… toujours plus haut. Après quelques autres errements et sans avoir retrouvé la piste de la tombe de Harrison Smith, nous poursuivons plus haut pour arriver au joli point de vue sur la presqu’île. Le temps est maussade et le panorama qui s’offre à nous est quelque peu voilé…
Mais il est déjà midi et nous nous arrêtons pour la pause casse-croûte. Après le repas, nous redescendons au milieu des pinus sur une jolie crête bien qu’un tantinet pentue, qui nous mène… à propos, elle nous mène où ? Tant pis, nous remontons, histoire de faire un peu de sport, et prenons un autre sentier qui nous conduit jusqu’au banian remarquable devant lequel des tiki narquois nous toisent. Juste à côté, un sentier envahi par les herbes folles nous accueille pour nous conduire jusqu’à la tombe du botaniste célèbre, celui qui a créé le Jardin de Papeari, et qui, accessoirement, aurait été à l’origine de l’implantation du miconia dans nos îles…
Le temps d’une petite pause en ce lieu propice à la méditation et nous prenons… enfin, le chemin du retour aux véhicules… La piste devient un peu plus ardue, à moitié effacée, à flanc de montagne et le dernier raidillon, en sortie, nous offre une autre séance bien sympathique, de descente en quasi-rappel. Pour Christine, cette sortie aura été la dernière avec le club, puisqu’elle nous quitte pour d’autre cieux… Gros bisous à elle et faiatoto pour la suite !
Photos : Nathalie, Christine, Eric… et les autres…
La dernière photo avec le tracé est ma préférée !!!! « Tout ça pour ça hahahahaha! » merci encore c’était bien beau tout là haut.
Moi aussi j’adore le tracé, mais je n’ai jamais eu l’impression de revenir sur mes pas pourtant… Le paysage changeait tout le temps !