Jeudi 17 septembre 20, quand la Te Faaiti se transforme en Maroto

Nous étions 9 ce jeudi dans le groupe famille, décidés à suivre d’un pas alerte le groupe adulte en respectant la distanciation de rigueur.

Toutefois, un petit crachin se transformant en gouttelettes avec des nuages gris clair s’invite au départ. Rien de méchant mais il nous fait craindre un retour forcé au bout d’1/2h ou d’1h sous la pluie, ce qui nous aurait amener à une heure trop tardive pour nous reporter sur une autre vallée. Nous décidons donc de ne pas traverser la Papenoo à nos pieds mais de reprendre les voitures pour aller jusqu’à la Maroto où la balade est plus courte et plus sereine en cas de pluie.

Nous nous garons donc au bout de Fare hape et de son site archéologique et entamons notre balade. La remontée de rivière jusqu’à la si belle cascade de la Maroto se fera sans problème.

Il est encore tôt. Nous décidons donc de monter au dessus de la cascade, un peu plus sportif certes, mais le passage des cordes et la redescente sur les vasques un peu glissante car boueuse se fait sans problème grâce à la vigilance de tous.

Nous passons un moment à sauter dans la vasque par le côté d’une hauteur toute mesurée par rapport aux jeunes qui sautent du haut bien sûr puis nous redescendons pique-niquer au bord de la cascade en compagnie de notre amie l’anguille si impressionnante par sa taille que plus personne n’a envie de se baigner, bizarre… l’animatrice du jour a pourtant montré l’exemple mais sans convaincre personne. On admirera aussi la descente en rappel de la cascade de la Maroto par 2  jeunes et leur encadrant.

Après une bonne pause repas, le retour se fait sans problème, « c’était si court que ça à l’aller? » Toujours en forme, nous décidons de reprendre les voitures pour les garer 5 mn plus tard en contrebas du relais de la Maroto afin de nous rendre au spot du toboggan et saut dans la vasque. Et ce fut donc après un petit temps d’hésitation, glissades et sauts à satiété.

Il est déjà 16h15, l’heure de rejoindre les voitures d’où après une petite collation nous reprenons la piste (pourquoi est-elle donc toujours si longue au retour?).

Une journée bien remplie et riche en découvertes et sensations pour tous,  bravo  à tous les jeunes sportifs et bienvenue à Nicolas, Lila, Anaïs, Gabriel, Antoine et Margaux, sportifs en herbe  de 08 à 11 ans et leurs pères.

Texte : M-Pierre

Photo : Antoine, M-Pierre

 

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