Jeudi 20 février 2020, Moorea, d’Opunohu à Vaiare

C’est en sens inverse que nous décidons de parcourir Moorea ce jeudi 20 février, si bien que la ponctuelle Gisèle nous emmène dès 8 heures jusqu’au belvédère qui surplombe la belle baie de Opunohu*. Trois jeunes accompagnent quatre adultes, dans la bonne humeur.
Pourtant il nous faut contourner et enjamber de nombreux arbres tombés récemment; quelques uns sont énormes, mais rien ne nous arrête.
Plus gênant: les fourmis de feu nous attaquent au milieu du parcours.
La forêt nous abrite du soleil toujours aussi menaçant pour notre peau.
Vers 13h30, après avoir dégusté quelques fruits de la passion tombés opportunément sur le chemin, nous n’avons plus qu’à attendre le bateau, fatigués mais contents. Fatigués ? on en doute en voyant les trois garçons courir sur le pont du bateau.
Mauruuru Moorea*.
Au plaisir de vous revoir : Laurent
 
* Opunohu pourrait signifier « ventre (opu) du poisson pierre », ou « antre (o pu) de la pieuvre »; avec « le lézard jaune » et les fourmis de feu, quel bestiaire!

floflo

Dimanche 16 février 2020, l’Aoraï 2

Ce 16 février 2020 a vu 6 marcheurs matinaux au pied de l’Aorai : 4 tane retraités et 2 vahine actives, tous affamés de plaisirs sains et naturels.
L’Aorai nous a offert tout cela : la fraicheur et la limpidité du petit matin, les nuages et la brume qui jouaient avec le relief, et la merveille d’un arc en ciel parfait que nous surplombions.
Certes, arriver au deuxième refuge reste une épreuve physique quelque peu vertigineuse (n’est-ce pas Gilles), il faut le reconnaître, mais se dépasser donne plaisir aussi. Certes, le soleil a surchauffé notre peau, mais c’est la chaleur humaine qui nous a marqués davantage.
Un Tahitien venu nettoyer les abords du premier refuge nous a tenu compagnie à la descente, source de nouveaux échanges.
Bref, une belle expérience partagée.
Mauruuru roa Tahiti ! Ευχαριστώ πολύ Tahiti / Tibi gratias agimus, Tahiti!
Laurent et compagnie

Jeudi 13 février 2020, Aoraï, 1er refuge

Nous étions 4 pour accomplir cette classique des randonnées tahitiennes mais néanmoins très agréable avec de belles vues sur la ville, le lagon et Moorea puis sur la montagne et le Diadème.

 

Le temps était au rendez-vous à notre départ à 09h. Il faisait même chaud pour cette petite grimpette qui en a fatigué certain (la reprise est difficile !).

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DIM 9 FEV : Au-dessus des grottes de Maraa

Oups, nous voilà à nouveau 13 à la douzaine pour la sortie du jour, un chiffre qui en impressionne certain. Avec comme d’habitude, quelques nouvelles têtes en « rando découverte » prêtes à découvrir les merveilles insoupçonnées des hauteurs du fenua.

Après quelques hectomètres le long de la route, nous voilà à pied d’œuvre dans la servitude  qui mène au sommet de cette agréable petite crête à 430 m. La montée jusqu’au premier plateau se déroule sans souci puis c’est l’attaque des débuts de la crête à travers les anuhe. Ça griffe, ça chatouille, ça pique, mais ça passe, malgré quelques fourmis de feu dérangées qui se vengent en nous faisant goûter leurs piqûres urticantes… Et c’est l’arrivée sur le tapis de mousse, auréolé d’épines sèches de pinus, où une première halte s’impose.

Poursuite de la grimpette jusqu’au sommet de la crête puis retour par le haut sur la crête d’en face où nous nous arrêtons pour déjeuner sur un autre matelas d’épines de pin. La vue sur les passes de Paea et de Papara est simplement magique. Après cette halte salutaire, c’est le retour vers les voitures.

Le sentier devient pentu, de plus en plus, et quelques-uns d’entre nous chaussent leurs crampons de forestier. Glissages plus ou moins contrôlées ponctuent la descente raide qui nous emmène directement au pied des grottes de Maraa non sans avoir effectué le petit détour pour jeter un œil sur l’ancien monte-charge des années 50.

Le bain s’impose pour la plupart d’entre nous, et puisque nous sommes à quelques encâblures du fare de notre président adoré, c’est chez lui que nous prendrons un dernier verre avant de regagner nos foyers respectifs.

JP – Photos : Michel, Nathalie et Christine

Matériels de sécurité

Bonjour à tous,

En ces périodes de pluie où les sentiers deviennent boueux et glissants, il est nécessaire de s’équiper de crampons antiglisse. Ces crampons s’adaptent aux chaussures de randonnées sur terrains gras (comme sur glace).

Ils peuvent apporter un réel confort et un surcroît d’assurance dans des moments difficiles.

La mise en place est rapide et le retrait également.

Ils existent en trois tailles :  M L XL et se rangent dans leur sacoche. Le poids est dérisoire (moins de 400 gr). Il suffit de les laisser dans le sac à portée de main.

On les trouve sur les sites de matériels de randonnée comme : expe.fr, Amazon*, au vieux campeur etc.… Leur coût se situe entre 20 et 40 €.

*Amazon offre le plus de choix mais ne livre pas ce matériel en PF.

Si vous souhaitez passer par le club pour commander faites le moi savoir.

Amicalement,

Michel,

Jeudi 6 février : au-dessus des grottes de Maraa.

Malgré une météo grincheuse ce matin, nous sommes six à effectuer la boucle des grottes.

 

C’est tout d’abord un premier raidillon bien glissant mais que nous avons au préalable équipé d’une corde à demeure. Ça ressemble par moments à de l’escalade, les racines nous offrent des prises avantageuses sur ce sentier exigeant qui ne laisse pas de répit. Après trente minutes d’effort, nous arrivons à la lisière des pins sur une petite plateforme où nous reprenons notre souffle.

La suite est plus confortable ça monte toujours au milieu des hanue, la nature a repris ses droits, le sentier est recouvert et nous retraçons la piste. Au passage quelques guêpes ont revivifié deux d’entre nous par deux ou trois piqûres. C’est l’avantage de marcher en tête !

Nous arrivons finalement après deux heures à la jonction avec la crête de la Papahonu. Un deuxième arrêt sur le lit d’aiguilles de pins pour le casse-croûte et nous terminons notre périple sur le parking des grottes où des boissons fraîches nous attendent.

Un grand merci à tous !

Jeudi 30 janvier 2020, la vallée Hopuitamai

Nous étions 4 ce jour pour remonter cette belle vallée de Paea.

Des risques de pluies sont annoncés pour l’après-midi mais ce matin le temps étant clair et l’eau de la rivière limpide, nous décidons de démarrer notre excursion. Avant cela, il nous faudra tout de même chercher une place où se garer dans cette servitude où le moindre espace est privatisé puis discuter avec le dernier propriétaire de la servitude (donc « de la vallée ») qui après nous avoir dit que nous ne pouvions aller dans la vallée sans autorisation nous l’a finalement accordé.

Nous traversons donc notre 1er gué et nous engageons sur le sentier. Quelques centaines de mètres plus loin, un vieil homme qui vit sur son faapu avec son chien nous salue sympathiquement.

Ce ne sera ensuite que successions de gués et progressions sur un sentier encombré d’herbes, de branches, de racines, de pierres humides, un sentier polynésien quoi.

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DIM 26 janvier : La vallée Orofero à Paea

Nous sommes une petite dizaine de randonneurs ce matin pour partir à l’assaut de la rivière Vaiatu, dans la vallée Orofero à Paea. Michel est également là, avec son fier 4X4, ce qui nous permettra d’éviter les premiers hectomètres peu propices à la randonnée-nature… Météo-France a prévu du beau temps pour ce dernier dimanche de janvier et c’est sous les chauds rayons du soleil que nous entamons notre marche dominicale.

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dimanche 19 janvier 2019, la Vaipoo

Bonjour à tous,
 
Ce dimanche 19 janvier, s’est écrite une nouvelle page qui s’ajoute à notre recueil d’expériences partagées. Il s’agissait de suivre la Vaipoo pendant moins de 6 heures. Le groupe de randonneurs pouvait paraître nombreux,
mais il s’est révélé fort sympathique, détendu dans l’effort, réjoui dans l’eau.
Les photographies en sont la preuve, n’est-ce pas?
A la prochaine randonnée.
Merci à tous
Laurent
ps: j’espère que ma barbe naissante ne vous a pas trop perturbés…
 
photos : Laurent, Christelle et Sylvie (dont les photos sont trop compressées, elles apparaissent bien dans la rédaction de l’article et pas à l’aperçu, je publie tel quel mais ce sera sûrement « de travers », désolée M-Pierre)