Matériels de sécurité

Bonjour à tous,

En ces périodes de pluie où les sentiers deviennent boueux et glissants, il est nécessaire de s’équiper de crampons antiglisse. Ces crampons s’adaptent aux chaussures de randonnées sur terrains gras (comme sur glace).

Ils peuvent apporter un réel confort et un surcroît d’assurance dans des moments difficiles.

La mise en place est rapide et le retrait également.

Ils existent en trois tailles :  M L XL et se rangent dans leur sacoche. Le poids est dérisoire (moins de 400 gr). Il suffit de les laisser dans le sac à portée de main.

On les trouve sur les sites de matériels de randonnée comme : expe.fr, Amazon*, au vieux campeur etc.… Leur coût se situe entre 20 et 40 €.

*Amazon offre le plus de choix mais ne livre pas ce matériel en PF.

Si vous souhaitez passer par le club pour commander faites le moi savoir.

Amicalement,

Michel,

Jeudi 6 février : au-dessus des grottes de Maraa.

Malgré une météo grincheuse ce matin, nous sommes six à effectuer la boucle des grottes.

 

C’est tout d’abord un premier raidillon bien glissant mais que nous avons au préalable équipé d’une corde à demeure. Ça ressemble par moments à de l’escalade, les racines nous offrent des prises avantageuses sur ce sentier exigeant qui ne laisse pas de répit. Après trente minutes d’effort, nous arrivons à la lisière des pins sur une petite plateforme où nous reprenons notre souffle.

La suite est plus confortable ça monte toujours au milieu des hanue, la nature a repris ses droits, le sentier est recouvert et nous retraçons la piste. Au passage quelques guêpes ont revivifié deux d’entre nous par deux ou trois piqûres. C’est l’avantage de marcher en tête !

Nous arrivons finalement après deux heures à la jonction avec la crête de la Papahonu. Un deuxième arrêt sur le lit d’aiguilles de pins pour le casse-croûte et nous terminons notre périple sur le parking des grottes où des boissons fraîches nous attendent.

Un grand merci à tous !

Jeudi 30 janvier 2020, la vallée Hopuitamai

Nous étions 4 ce jour pour remonter cette belle vallée de Paea.

Des risques de pluies sont annoncés pour l’après-midi mais ce matin le temps étant clair et l’eau de la rivière limpide, nous décidons de démarrer notre excursion. Avant cela, il nous faudra tout de même chercher une place où se garer dans cette servitude où le moindre espace est privatisé puis discuter avec le dernier propriétaire de la servitude (donc « de la vallée ») qui après nous avoir dit que nous ne pouvions aller dans la vallée sans autorisation nous l’a finalement accordé.

Nous traversons donc notre 1er gué et nous engageons sur le sentier. Quelques centaines de mètres plus loin, un vieil homme qui vit sur son faapu avec son chien nous salue sympathiquement.

Ce ne sera ensuite que successions de gués et progressions sur un sentier encombré d’herbes, de branches, de racines, de pierres humides, un sentier polynésien quoi.

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dimanche 19 janvier 2019, la Vaipoo

Bonjour à tous,
 
Ce dimanche 19 janvier, s’est écrite une nouvelle page qui s’ajoute à notre recueil d’expériences partagées. Il s’agissait de suivre la Vaipoo pendant moins de 6 heures. Le groupe de randonneurs pouvait paraître nombreux,
mais il s’est révélé fort sympathique, détendu dans l’effort, réjoui dans l’eau.
Les photographies en sont la preuve, n’est-ce pas?
A la prochaine randonnée.
Merci à tous
Laurent
ps: j’espère que ma barbe naissante ne vous a pas trop perturbés…
 
photos : Laurent, Christelle et Sylvie (dont les photos sont trop compressées, elles apparaissent bien dans la rédaction de l’article et pas à l’aperçu, je publie tel quel mais ce sera sûrement « de travers », désolée M-Pierre)

Jeudi 16 janvier la Te Faaiti à Papenoo

Ce jeudi, nous envisageons de remonter la Te Faaiti jusqu’à son second refuge.

Après deux défaillances dans les rangs et un parcours très humide en 4X4 nous nous retrouvons trois au départ du parking de la Te Faaiti. Le niveau de la Papenoo est acceptable avec de l’eau à mi-cuisse. La piste est bien visible mais tout est humide il a dû bien pleuvoir toute la nuit ! Marie-Pierre en tête, nous progressons lentement sur des cailloux glissants.

Les gués sont franchis avec précaution car le niveau de l’eau augmente. Nous arrivons au quatrième pour nous recueillir un moment à la mémoire de nos amis. Nous reprenons notre rando jusqu’au 6 ou 7e gué qui précède le rocher de 6 mètres. Nous faisons le point au moment où la pluie recommence à tomber comme un signal, nous décidons de rebrousser chemin par précaution après le casse-croûte.

De retour au quatrième gué nous nous mettons à la recherche d’une grosse pierre plate. C’est Marie-Pierre (sic) qui la trouve dans le bassin. Évidemment c’est lourd et encombrant nous partageons nos affaires et Michel se charge de transporter l’objet dans son sac vide. Le retour ne sera pas une partie de plaisir car avec dix-neuf kilos sur le dos l’équilibre est aléatoire mais avec prudence et l’aide de Linda et Marie-Pierre nous arrivons jusqu’à la voiture.

Voilà une bonne chose de faite. Vous me direz mais pourquoi transporter un tel fardeau ? Hé bien pour ceux qui n’ont pas deviné je vous donnerai toutes les précisions dans quelque temps.

Mauruuru à Linda et Marie-Pierre !

 

Dimanche 12 janvier 2020, à la conquête du Marau

Un trio remarquable ce matin pour conquérir le Marau
Le plaisir de la randonnée est venu des panorama dont on ne se lasse pas,  sur le Diadème, le plateau des orangers; le  soleil voilé l’a conforté, et la variante en fin de parcours a permis un bain de fougères, encore inconnu aux deux tiers de la troupe qui ont aussi découvert le léger stress de trois tirs de ball trap.
A bientôt pour de nouvelles expéditions …
Laurent

Jeudi 9 janvier la boucle du Miri à Punaauia

Nous étions 13 ce jeudi pour une sortie sympathique sur les hauteurs du Miri à Punaauia. Départ comme à l’accoutumée au pied du château d’eau puis parcours classique en côte pour rejoindre la piste du mont Marau après une heure.

Nous passons les deux ball-traps, gravissons le dernier kilomètre pour arriver à cet embranchement appelé « ancienne piste VTT » mais qui n’en n’est plus une. C’est très pentu et accidenté il faut se tenir aux hanue pour éviter la glissade.

Le sentier serpente au milieu des pins et des goyaviers sauvages. Avec Laurent en tête nous nous faufilons au milieu des fougères hautes pour atteindre la crête qui nous ramènera doucement en direction du petit captage du Miri après une dernière descente épique puis aux voitures.

Malgré la pluie fine qui nous accompagnera durant la dernière heure, nous terminerons notre boucle du Miri avec le sourire et bonne humeur.

Un grand merci à Laurent pour l’animation et à Jean-Yves pour le photos. Bienvenue aux nouveaux arrivants.